La semaine passée rebelote pour remettre le port-a-cath (petite boite installée sous la clavicule pour chimio) que j’avais joyeusement enlevé l’année passée après 7 ans de rémission. Comme la première fois c’était déjà compliqué à poser, j’appréhendais. Une première pose a loupé, réouverture pour le déplacer. Au bout de 4 essais et 4 trous, enfin ça a marché. J’étais donc prête pour la chimiothérapie. Mais rebelote, après une gastroscopie, car des problèmes gastriques, j’ai fait une occlusion intestinale mardi, ce qui m’a amené aux urgences à l’hôpital de Sion. Plus de chimiothérapie au programme mais la question se pose pour commencer avec une opération.

Après 1 semaine de soins, ils ont envisagé une Laproscopie.  Mais mon spécialiste de Zürich, Professeur Lehmann, qui m’avait dejà opéré en 2015, ne trouvait cette intervention pas judicieux. Nous avons donc pris la décision avec Philippe de retourner à Zürich à l’Universitäts Spital le mardi.

Entre Rennaz, Zürich et Sion il commençait avoir beaucoup de personnes impliquées… et les assurances ne facilitent pas les choses.